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jeudi 8 septembre 2011

Début Septembre 2011, retour au Québec.

Je vous passerai les différentes péripéties administratives que j'ai déjà racontées. Par ailleurs, je ne dirai rien non plus de mon arrivée à l'aéroport international Jean LESAGE de Québec, tant elle ressemble à celle de l'an dernier ! 1h d'attente pour mes bagages (qui se pointent toujours en dernier alors que je suis dans les premiers descendus...) et 3h pour faire valider mon Permis d’Études au Bureau de l'Immigration. Quant au vol, je regrettais sincèrement de ne pas avoir pris (finalement et après hésitation) mon appareil photo. De mon hublot, j'avais une vue imprenable sur l'Île d'Orléans, la Rivière Montmorency et le Cap Diamant. Zut...

Certains lecteurs assidus de mon blog sont mes amis, et la première chose que je fis une fois installé aux résidences de l'Université Laval fut de courir à la Bibliothèque Universitaire pour leur écrire (tant bien que mal avec ces fichus claviers QWERTY) un courriel qui démarrait ainsi.
"C'est avec une joie immense que j'ai foulé tout-à-l'heure le sol québécois. Après l'été, pour le moins mouvementé, que je viens de passer, retrouver les odeurs les lieux, ce doux vent frais du nord qui rend le climat et l'air du Québec si pur et agréable, ces gens si sympathiques, ces accents qui font chanter les mots, tout cela m'émut presqu'aux larmes. Maison, sucrée maison, me voilà de retour (pardon si je choque certains d'entre vous) chez moi. Je retrouve mon université, mon pavillon résidentiel, mes centres commerciaux, mes habitudes, mes repères. J'ai l'impression d'être au Québec dans mon élément, chez moi (je sais, je me répète). Je crois que je suis tombé amoureux de ce pays du Québec, et je prends aujourd'hui la pleine mesure de combien il m'a manqué durant ces trois mois agités."
Je le pensais sincèrement et le pense encore. Je me revois dans ce taxi quittant l'aéroport, le sourire d'une oreille à l'autre, le cœur léger, et c'est véritablement heureux que j'ai repris mes quartiers au Pavillon Alphonse-Marie PARENT, dont le jardin s'est agrémenté d'un Pont Japonais durant mon absence.


À part un problème de Wi-fi que j'ai dû régler larmes au poing, mon installation s'est déroulée sans trop d'accrocs. Le Samedi 3 Septembre 2011, je retrouvais ce cher ami Alex pour aller jaser et manger une crème glacée au Trait Carré de Charlesbourg. Historiens dans l'âme, nous avons fait un tour vers le Moulin des Jésuites et l’église Saint-Charles BORROMEE de Charlesbourg.



Par ailleurs, l'aile A du Pavillon Alphonse-Marie PARENT compte un nouveau résident : un chien de prairie, juste sous la porte extérieure. Et j'ai bien dit "CHIEN DE PRAIRIE" et non pas "Marmotte" comme mes yeux trop européens l'avaient identifié l'an passé. Certes ils sont cousins (pas les yeux, les bestiaux), mais ce n'est pas pareil. Et je m'en rends compte maintenant que j'ai revu des marmottes de près cet été. Pensez-vous, ça remontait à 2006 avant ! Même qu'elles venaient nous réclamer à manger.





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